Chief Happiness Officer, mouais…
CHO, le responsable du bonheur au travail… Depuis quelques années, je vois fleurir les références à ce métier et j’avoue être très réfractaire à l’idée d’une telle fonction et à ce qu’elle sous-tend.Vu de loin, cela ressemble plus à du socialwashing – tant qu’à utiliser des anglicismes… – qu’à une quelconque volonté de s’intéresser fondamentalement au bien-être des salariés. Et puis ce titre, tout de même assez ronflant, quand j’en discute autour de moi, personne n’a pu me le définir clairement.